mardi 21 octobre 2014

il était une fois

Je n'ai rien contre les princesses de Disney, les tortues ninja et les autres membres de la famille du entertainment pour enfants. Ok, c'est un gros mensonge blanc.

Mes études en marketing et mon intérêt pour la psychologie du consommateur m'ont marquée à vie. Il y a une expression qui dit : "Knowledge is power and ignorance is bliss" (la connaissance est le pouvoir et l'ignorance est le bonheur). Parfois, je me dis que ma vie serait plus simple sans cette information emmagasinée.

Les films à la Disney sont des cookie-cutters qui servent, tout simplement, à faire du cash. La compagnie Disney Princess, qui existe depuis les années 90, est la vache à lait de l'empire Mickey Mouse. En 2012, les parents de petites nord-américaines ont acheté pour $1.6 milliards de trucs Disney Princess (échelle mondiale: $3 milliards). C'est de l'argent...et de la bébelle.

Par contre, j'aime bien les contes de fées "classiques" car ils favorisent l'imagination, la créativité et la cohérence (ex: le bien versus le mal, les peurs, la mort). Parce qu'ils sont parfois intenses (ex: les frères Grimm), un certains travail doit être fait pour dénicher une histoire appropriée pour le niveau de l'enfant. Il est aussi intéressant de faire un petite (ou grande) discussion post-lecture.  Mais Spiderman est aussi intense...c'est juste un autre genre!

J'imagine que je devrais conclure par "c'est une question d'équilibre..." mais j'en n'ai pas le goût! Cette giganteste machine commerciale qui influence la vie d'une majorité d'enfants et de parents, ben, elle m'énerve vraiment.

*

photos: première étape du projet "fées de l'automne"...à suivre! 

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