parlons guénille - deuxième partie

Si l'aspect humain du "fast fashion" laisse fortement à désirer, les conséquences environnementales donnent aussi la nausée.

Aux É-U (et c'est probablement loin d'être beau au Québec)
* 12 millions de tonnes de vêtements aux poubelles / année
* 22 milliards de lbs. de pesticides pour la production de coton / année

Mondialement
* 145 millions de tonnes de charbons pour la production de tissu / année
* 2 billions de gallons d'eau pour la production de tissu / année

En gros: HORRIBLE

^* 

Ce qui est bien avec la simplicité c'est qu'il n'y a pas de règlement. C'est parfois déconcertant mais, pour résumer la situation, tu fais ton possible selon ta situation.

Pour éviter de voir mes vêtements comme des "produits jetables", j'aime faire attention à la qualité du produit final (savoir analyser la construction, les coutures et les tissus est un atout) et de réparer les items qui ont la vie dure. Dans la mesure du possible, je souhaite aussi  encourager des compagnies/designers responsables...et préférablement locaux. Mais surtout, je veux limiter mes achats.

Et parce que j'aime bien les défis, je participe au Project 333. Ce dernier est un défi de mode minimaliste qui invite les gens à s'habiller avec 33 articles pour une durée de 3 mois.

à suivre...

 * faire aussi attention à l'entretien...donc plus de bikini dans la laveuse